Après mes études, j’ai directement trouvé un poste dans une agence de traduction et je suis donc restée en France. Dans un coin de ma tête, j’avais toujours ce manque de la Suisse, mais j’attendais LA super opportunité pour revenir, puis je suis tombée sur Supertext.
Tchô bonne la Tour Eiffel et adieu le lac Léman!
Je m’appelle Delphine Di Domenico. Ça sonne italien? Oui, j’ai des origines italiennes et sinon, je suis franco-suisse. J’ai commencé à apprendre l’allemand très tôt à l’école, vu que j’étais en Suisse et que c’est la première langue que nous apprenons. Très vite, je me suis rendu compte qu’il n’y avait pratiquement que les langues qui m’intéressaient et me motivaient à l’école. J’ai ensuite appris l’anglais puis l’italien. J’ai toujours envie d’apprendre de nouvelles langues. Amoureuse des voyages, j’aime pouvoir parler la langue locale quand je découvre un pays. D’ailleurs, en ce moment, j’essaie de progresser en espagnol pour pouvoir dire un peu plus que «Holà, un mojito por favor» ou «Dónde está la playa?». Un jour, ma grand-mère m’a dit que je devrais devenir traductrice. Cette idée ne m’a plus jamais quittée. J’ai donc, plus tard, étudié la traduction à l’université de Paris Est Marne-la-Vallée. Après avoir passé toutes ces années à Paris et avoir fait de nombreux aller-retours à Cologne en Allemagne (deux stages et un véritable coup de cœur pour cette ville), il est temps pour moi de revenir aux sources, et donc en Suisse, là où tout a commencé il y a maintenant 26 ans.
Le 6 novembre 2017, j’ai enfin osé sauter le pas. J’ai donc rejoint l’équipe Supertext à Lausanne. J’avais repéré Supertext depuis quelque temps déjà et cette agence m’avait tout de suite plu. Elle semblait sortir du lot, en tout cas par rapport aux autres agences de traductions que j’ai pu connaître auparavant. L’équipe est jeune, sympa et plutôt cosmopolite. J’adore travailler avec des personnes venant de partout dans le monde. Alors quand j’ai appris que Supertext avait ouvert un bureau à Lausanne, ça a été le déclic et j’ai fait ma valise. Puis je me dis que, parlant allemand, français et italien, je ne pouvais pas être mieux qu’en Suisse pour travailler dans la traduction. Il faut croire que c’était écrit, je devais revenir un jour.
Photo via Supertext