Tout est super, et il y a parfois des miracles!

Un jour, par temps de grisaille, je me promenais avec ma femme dans le «Kreis 5» lorsque mes yeux sont tombés sur une agence de rédaction au nom prometteur.

J’ai tiré ma femme par le bras et lui ai susurré à l’oreille: «Super, ça pourrait être quelque chose pour moi.» Nous nous sommes regardés, puis nous avons poursuivi notre promenade… Un an plus tard, le 24 septembre 2012, j’étais engagé comme «Sprachmanager» pour le français, un poste que je partage maintenant avec Florence.

Un passé sportif au service de la langue

A l’école, quand j’étais encore élève en primaire, en secondaire ou en terminale, je rédigeais avec passion des compositions ou des dissertations, et je crois pouvoir dire sans rougir qu’elles étaient souvent réussies et qu’elles plaisaient au professeur. Parfois, il en lisait des extraits devant la classe, ce qui me remplissait de fierté.
En effet, les langues m’ont toujours passionné depuis ma tendre enfance. Je les partageais avec mon frère jumeau. Très vite, j’ai dû m’adapter à de nouvelles situations, ayant habité dans ma jeunesse sur trois continents différents. En l’espace de quelques années, j’ai dû assimiler l’allemand, l’anglais et le français pour, à chaque fois, me faire comprendre par mes copains dans la cour de récré à l’école!
Parallèlement, pour compenser les efforts intellectuels, je me suis mis à pratiquer du sport dont le tennis au niveau compétition. Le ski, l’alpinisme et la natation ont été d’autres disciplines sportives qui m’ont donné l’envie et le goût du sport en général.
Après mes études de langues et de littérature à l’université de Zurich, j’ai travaillé un certain temps comme professeur de tennis en Sicile et enseigné les langues.
Un jour, après mûre réflexion, j’ai décidé d’abandonner l’enseignement du sport comme gagne-pain et me suis mis sérieusement à la recherche d’un emploi en me jetant dans les bras du marché. C’était en 1984, l’année qui a tracé ma carrière professionnelle de traducteur. Ainsi, j’ai commencé à faire mes armes de traducteur/interprète auprès d’un syndicat, un parcours que j’ai ensuite suivi avec peu d’interruptions jusqu’à ce jour en occupant des postes de traducteur/réviseur/chef de projet auprès d’un assureur de renommée mondiale et différentes agences de traduction.

Mon expérience au service de Supertext

Aujourd’hui, avec Supertext, j’ai envie de franchir les frontières linguistiques et culturelles – grâce à mon expérience professionnelle éprouvée. A ce titre, je suis convaincu que le secret de notre réussite consiste en un savant mélange entre jeunesse, dynamisme et âge mûr, expérience (j’ai 56 ans!). Durant ma première semaine, j’ai appris à connaître un nouveau système de workflow que je trouve fort efficace (même s’il me procure parfois encore du fil à retordre, mais un supermerci à Florence qui m’aide avec une patience exemplaire!). L’équipe m’a accueilli fort chaleureusement et le climat qui règne ici est super! Merci à tous.

Image: Photo via Supertext



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3 Kommentare zu “Tout est super, et il y a parfois des miracles!”



  • Antonino Muscarello am 19. octobre 2012 11:01 Uhr

    Ciao René, ho letto intensamente lo sviluppo della tua  »carriera ». Naturalmente mi ha fatto molto piacere che la mia terra natale fa parte del tuo articolo, anche perchè io conosco anche il famoso retroscena terminato in nozze :-)
    Naturalmente approfitto dell’ occasione e ti aurugo il successo che meriti presso SUPERTEXT. A Presto, capitano.
    Toni

    ps: ti ho scritto apposta in italiano cosi fai un po di pratica in piu’.


  • Élisabeth Chevillet am 1. novembre 2012 13:16 Uhr

    Bonne chance pour votre nouveau poste & au plaisir de travailler ensemble! Herzliche Grüße, Élisabeth Chevillet


  • René Voit am 1. novembre 2012 14:40 Uhr

    Bonjour Élisabeth,
    Merci de vos bons vœux et au plaisir aussi de travailler avec vous!
    Cordiales salutations,
    René


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